Fiche d'information : Analyse coût-avantage : traité la maladie ou traité l’eau?
Ce n’est pas banal de traiter l’eau pour qu’elle soit bonne à la consommation. Mais il n’est pas non plus banal de traiter n’importe quelle personne malade lors d’un déclenchement de maladie présente dans l’eau potable. Le diagramme ci-dessus démontre la relation entre le risque de contamination et le niveau de traitement de l’eau. En général, plus on traite l’eau pour la rendre sécuritaire plus le coût de traitement sera élevé. Par contre, les agences gouvernementales essayent généralement de réduire les coûts, alors que les effets sur la santé n’ont pas été évalués correctement.
Cependant, ce mode de fonctionnement créé beaucoup de problèmes. Dans les pays en voie de développement, les épidémies de maladie reliées à l’eau n’est pas rare. Beaucoup de gens croient que les pays développés sont protégés de l’eau contaminée. Mais, en 1993, le ministère de l’environnement des États-Unis a estimé qu’environ 403 000 personnes ont été malades à cause de l’eau contaminée. Plus de 100 personnes décédées lorsque le Cryptospridium contamina les réserves d’eaux potables à Milwaukee au Wisconsin. En 2000, la maladie E. coli contamina les réserves d’eaux potables à Walkerton en Ontario causant 7 décès et plus de 2000 maladies. En 2001, au nord de la ville de Battleford en Saskatchewan le Cryptospridium contamina l’eau et causa entre 5800 et 7100 maladies.
Walkerton, Ontario:
http://www.wsws.org/en/articles/2000/06/walk-j10.html
Nous sommes toujours avertit lors d’une épidémie majeure de maladie reliée à l’eau potable. Par contre, il y a un grand nombre de maladie dont nous ne connaissons l’existence. Santé Canada surveille le développement que des maladies majeures, mais beaucoup moins de maladie qu’on pourrait qualifier de banal. Généralement, le nombre réel de maladies reliées à l’eau potable est dix fois plus élevées que le nombre annoncé a la population.
Les centres de contrôle des maladies et de préventions reliées à l’eau potable estiment qu’il y a entre 4 et 33 millions de cas de maladies gastro-intestinales causé par le système d’eau potable public aux États-Unis chaque année. Ce nombre n’inclut pas les maladies causé par des sources d’eau privées, des sources d’eau de loisir public ou des maladies autres que la diarrhée. Lors d’une contamination d’E. Coli, Cryptospridium ou d’autres microbes pathogènes les coûts pour rétablir la situation sont importants. On peut donc affirmer qu’il est mieux de traiter l’eau pour quelle soit bonne à la consommation ou faire les traitements d’eaux les plus simples en espérant que tout se déroule pour le mieux?
Qui a la responsabilité de s’assurer que l’eau traité est sans danger?
La gestion et les normes varient de pays en pays. Au Canada, le gouvernement fédéral émet des directives sur l’eau potable et chaque gouvernement provincial ou territorial est responsable des installations d’eau potable dans leur province ou territoire. En raison du financement, des équipements et l’eau qui peut-être difficile à traiter, chaque province et territoire peuvent décider des directives qu’ils suivront et celle qu’ils ne suivront pas.
Une exception s’applique pour les parcs nationaux, les bases militaires et les communautés des premières nations. Le gouvernement fédéral a la responsabilité de l’eau potable dans ces cas ci. Dans le cas des communautés des premières nations au sud du 60 ème parallèle, la responsabilité est partagée entre les communautés et le gouvernement fédéral. Le regroupement des affaires indiennes et du nord Canada (AINC) et santé Canada fournissent de l’aide pour contrôler le réseau de distribution. Le gouvernement fédéral doit aussi contrôler l’eau non-traitée pour pouvoir mieux surveiller les usines de traitement qui doive bien traiter l’eau pour qu’elle soit potable.
Dans les territoires au nord du 60 ème parallèle, les gouvernements territoriaux et l’AINC sont responsable de rendent les installations sécuritaires et sans danger pour le traitement d’eau, que ce soit des communautés des premières nations ou non.
Comment les systèmes de traitement de l’eau sont-ils financés?
Le traitement d’eau est généralement financé par les municipalités locales et les villes qui ont parfois de minime financement provenant des gouvernements fédéraux et municipaux. Selon la fédération des municipalités canadiennes, 92% des profits de chaque taxe vont directement au gouvernement fédéral, qui elle ne laisse qu’un maigre 8% à certaines municipalités pour financer un certain nombre de services. Ont estime que les infrastructures de traitements d’eau publique au Canada possède un déficit de plus de 50 milliards.
Les communautés des premières nations reçoivent du financement provenant de l’AINC et de la communauté locale. Par exemple, selon l’AINC, en juin 2007, une nouvelle usine de traitement d’eau a ouverte à Mashteuiatsh, une communauté Innu du Québec. Pour le projet, l’AINC a investit 4,2 millions et la communauté a investit 1,2 millions supplémentaires. Par contre, beaucoup de communautés des premières nations ont des installations de traitement d’eau comparable à celle des pays en voie de développement. Santé canada investit environ chaque année 5 millions pour augmenter la qualité de l’eau potable dans les réserves. Dans le budget du gouvernement fédéral de 2003, le gouvernement investit 600 millions pour 5 ans pour soutenir la stratégie de traitement d’eau des premières nations.
Pour bien comprendre, considérez ceci, selon la ville de Winnipeg il coûte environ 214 millions en plus de 12,75 millions chaque année pour concevoir, réaliser, construire et maintenir un système de désinfection UV. La somme d’argent que le gouvernement fédéral donne aux réserves n’est presque pas assez suffisant pour réparer les équipements d’eau potable.
Qui est responsable de fournir des soins médicaux au Canada? Comment les soins médicaux sont-ils financés?
Chaque province et territoire sont responsables de fournir les soins médicaux dans leur province ou territoire. Le service de santé canadien est financé par les gouvernements provinciaux et fédéraux.
Alors, les soins médicaux sont financés avec les impôts et les taxes. Quelques provinces comme l’Alberta, la Colombie-Britannique et l’Ontario imposent des suppléments de santé à la population. Le gouvernement fédéral contribue en donnant une somme de 30 milliards pour les soins médicaux. Pourtant les dépenses pour les soins médicaux sont de plus de 100 milliards chaque année, qui est d’environ 3000$ par habitants. En 2003, parmi les pays membres de l’organisation de coopération et de développement économique(OCDE), les États-Unis ont le plus dépensés en soins médicaux (5635$ par habitants), suivi de la Norvège (3807$ par habitants) et le Canada (3001$ par habitants). Les dépenses en soins médicaux les moins élevés ont été au Mexique (583$ par habitants) et en Turquie (513$ par habitants). Si on compare avec les pays en voie de développement qui sont le dixième de la plupart des pays européen comme ce que le Canada et les États-Unis paye par personne par année. Par exemple, en 1994, le Costa Rica a dépensé plus que tout les autres pays en voie de développement et il dépensait que 140$ par personne par année!
Au canada, avant 2005, les dépenses moyennes étaient d’environ 4400$ par personne. Les dépenses les moins élevées de soins de santé sont au Québec où la moyenne est de 3900$ par personne. Les dépenses les plus élevées sont au Yukon, les Territoires du Nord-ouest et le Nunavut où les moyennes sont de 6000$ à 10 700$ par personne.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) fut une analyse qui démontra qu’il est plus avantageux d’améliorer l’eau et les services d’assainissement au niveau international car les coûts associés aux soins médicaux se situent entre 10$ et 23$ selon la région géographique. Le coût pour des soins médicaux dans les régions éloignées est beaucoup plus élevé. Donc, fournir de l’eau potable dans ces régions est beaucoup plus avantageux.
On estime qu’environ 10$ est nécessaire pour soigner une maladie (diarrhée), les États-Unis pourrait donc éviter entre 4 et 33 millions en soins médicaux chaque année si l’eau serait efficacement traiter! Quoiqu’il y ait moins de personne au Canada, il est très probable que le Canada pourrait aussi sauver des millions de dollars en soins médicaux chaque année. Ces économie considère seulement les maladies qui cause une diarrhée, imaginer toute les journées de travail perdues pour traiter la maladie, les économies pourraient être beaucoup plus élevées.
Quelle est la valeur des coûts associés au déclenchement d’une maladie présente dans l’eau potable?
Il existe beaucoup de coûts directs et indirects reliés au déclenchement d’une maladie. Un très grand nombre de maladies et de coûts peuvent être évité avec un traitement d’eau efficace. L’OMS divise les bénéfices (ou évite ou réduit les coûts) dans les 3 catégories suivantes :
Énumérez les avantages économiques d’éviter des épidémies de maladies. Il se réfère simplement d’un montant d’argent sauvé dans le domaine de la santé.
Des avantages économiques indirects comme une diminution des jours ouvrables perdus pour traiter la maladie et une espérance de vie plus longue, ces avantages permettent aux gens de travailler plus.
Les avantages qui ne sont pas en lien avec la santé incluent une diminution pour collecter l’eau (surtout pour les personnes qui doivent marcher pendant de longue distance pour aller chercher l’eau), une augmentation sur le prix des propriétés près des sources d’eau potables et le temps passé à pratiquer des loisirs.
La loi sur l’eau potable sûre, aux États-Unis, catégorise leurs avantages dans les 7 catégories suivantes :
Des maladies évitées alors la mortalité diminuée (moins de morts prématurée) et l’inactivité des gens diminué (moins de personnes éprouvent une diminution de leur bien-être physique ou mental en rapport avec une maladie).
Augmenter la qualité esthétique de l’eau comme le goût, l’odeur et la couleur de l’eau. Les gens basent, la plupart du temps, leur confiance sur la sécurité de l’eau sur des facteurs esthétiques. Quand le goût, l’odeur ou la couleur de l’eau s’améliore la satisfaction de la population s’améliore aussi.
Faire un traitement efficace en utilisant des filtres et des unités d’osmoses inverses pour l’eau courante. Le traitement efficace enlève le besoin du traitement d’eau à la maison et réduit l’exposition des gens aux polluants qui peuvent être dans leur eau.
Évité les dégâts matériels comme la corrosion et les ruptures de tuyaux. La diminution des dégâts matériels réduit aussi la quantité d’eau perdue en raison de cet incident.
Éviter le coût de production de marché qui signifie que dans les restaurants et les industries manufacturières les robots ménagers n’ont pas besoin de traiter l’eau avant utilisation. Ils peuvent donc transmettre leurs économies aux consommateurs.
Les avantages de non-responsabilité comme la satisfaction personnelle de savoir que d’autres personnes ont accès à l’eau potable ou que les ressources naturelles sont protégées.
Les avantages de transmettre de l’information publique sur l’eau à la population. Quand les gens ont accès à ce type d’information ils peuvent prendre des décisions réfléchies et protéger leur santé.
Quelle est la valeur des coûts par rapport à l’équipement utilisé pour un traitement d’eau efficace?
Les coûts pour traiter l’eau varient en fonction de la qualité de l’eau brute, le type de traitement et la qualité des équipements. En 1998, l’association canadienne des eaux potables et usées (ACEPU) ont évalué que 27,5 milliards devraient être investit dans le traitement des eaux et de distribution au cours des 15 prochains années. En 2004, l’OMS utilisa les 5 niveaux d’intervention suivants pour déterminer les prix et les avantages de l’implantation d’un service d’eau potable sûre et sanitaire :
Améliorer les sources d’eau pour les gens qui n’ont pas accès à des sources d’eau potables d’au moins la moitié d’ici 2015.
Améliorer les sources d’eau et les systèmes d’assainissement pour ceux qui n’ont pas accès aux autres systèmes d’au moins la moitié.
Fournir l’accès à l’assainissement à tous et améliorer tout les systèmes d’assainissement.
En plus de l’amélioration de l’eau et de l’assainissement fournir un minimum de désinfection de l’eau aux endroits d’utilisation.
Fournir l’accès à un approvisionnement en eau et une connexion pour l’eau dans toutes les maisons.
Le tableau suivant montre les données sur les coûts unitaires pour le coût en capital annuel et le coût récurrent annuel en dollars américains, à partir de 2010, pour plusieurs pays (répartis entre zones rurales et urbaines), par type d'amélioration de l'approvisionnement en eau ou de l'assainissement.
Source: https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/75140/WHO_HSE_WSH_12.01_eng.pdf
Vous pouvez voir que les coûts d'installation de mesures d'eau potable sont relativement faibles, surtout par rapport à la longue liste des bienfaits de l'eau potable.
QU'EST-CE QUI EST LE PLUS RENTABLE : TRAITER LES MALADIES LORSQU'ELLES SURVIENNENT OU TRAITER L'EAU POUR QU'ELLE SOIT SAINE ?
L'avantage le plus notable et le plus mesurable d'une eau potable traitée efficacement est la réduction des maladies d'origine hydrique. Le tableau suivant montre les avantages estimés pour les avantages économiques pour la santé, pour l'exemple des maladies diarrhéiques.
Source: https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/75140/WHO_HSE_WSH_12.01_eng.pdf
Vous pouvez voir que, si tout le monde avait accès aux services d'eau et d'assainissement de lesquelles la plupart de nous en Canada en profite, les bénéfices seraient énormes !
Le tableau suivant montre qu'il y aurait d'énormes gains de temps, ce qui se traduirait par une augmentation du PIB horaire par habitant :
Source: https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/75140/WHO_HSE_WSH_12.01_eng.pdf
Le tableau suivant montre la valeur économique annuelle totale, par région et intervention, en millions de dollars américains. Plus de 169 milliards de dollars américains pourraient être ajoutés en valeur économique !
Source: https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/75140/WHO_HSE_WSH_12.01_eng.pdf
Le tableau suivant montre qu'il pourrait y avoir 15 milliards de dollars américains de gains en soins de santé.
Source: https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/75140/WHO_HSE_WSH_12.01_eng.pdf
Le tableau suivant montre qu'il y aurait plus de 12 milliards de dollars américains gagnés en termes de valeur annuelle des réductions de mortalité.
Source: https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/75140/WHO_HSE_WSH_12.01_eng.pdf
Ainsi, l'analyse coûts-avantages entreprise par l'Organisation mondiale de la santé nous indique que, dans le monde, environ 169 milliards de dollars US pourraient être sauvé si les services d'eau potable et d'assainissement étaient améliorés. Ce total ne prend même pas en considération le droit humain à l'eau et le coût émotionnel et psychologique incommensurable de la perte d'un ami ou d'un membre de la famille à cause d'une maladie d'origine hydrique !
Les deux graphiques suivants montrent qu'il existe un ratio bénéfice-coût moyen de 5,5 des interventions pour atteindre l'accès universel à un assainissement amélioré (dans certaines régions, le ratio bénéfice-coût atteint 8,0 !) et qu'il existe un ratio bénéfice-coût moyen ratio de coût de 2,0 des interventions pour atteindre l'accès universel à des sources d'eau potable améliorées.
Et en ce qui concerne le Canada?
Ici on parle passe d’un cas international à un cas national. Durant le mois de mai et juin 2000, les réserves d’eau potable de la région de Walkerton en Ontario fut contaminée de la bactérie E. Coli. Il y eut 7 morts et plus de 2000 malades. La population dû pendant 8 mois se privé d’eau venant des réserves car tout dû être désinfecté jusqu’aux robinets des maisons. Le système d’approvisionnement en entier était contaminé. Le tableau ci-dessous récapitule les coûts lors d’une contamination de l’eau potable.
On a annoncé que le coût moyen par famille était de 3764$. On inclut dans le coût le traitement, le nettoyage de l’eau, le remplacement des aliments et les frais de déplacement. Les coûts totaux pour les soins de santé sont d’environ 6,6 millions tandis que le coût pour réparer une usine de traitement est de 10 millions.
Après la crise à Walkerton on réalisa une étude pour trouver une nouvelle source d’eau alternative. Deux options s’offraient à eux une première qui coutait environ 2 millions et l’autre environ 6 millions. Pour adapter le système de traitement avec un système de traitement sûr, l’option à 2 millions couterait un minimum de 3 millions de dollars et pourrait excéder 10 millions. Mais si on compare 10 millions pour le système de traitement d’eau et avec le 64,5 millions de la crise a Walkerton! En plus on ne prend pas en considération toute les vies perdues et la maladie vécu par les gens qui en ont été atteint. L’auteur de cette étude à prit en considération la valeur des vies perdues et attribua une valeur monétaire à chacune de ces vie. Il évalua qu’environ 90,8 millions devrait être rajouté au coût total apportant le coût total de la crise a Walkerton à 155 millions de dollars!
Lors de la crise de Cryptospridium à North Battleford les coûts étaient un peu plus bas car il y eut aucun mort lors de la crise. Cependant, 700 personnes fut malade cela généra 3,5 millions de dollars en compensations pours les malades. Les coûts pour l’enquête publique et les frais d’honoraire s’élevèrent à environ 400 000 $. Après l’incident la ville s’est engagée à construire une nouvelle usine de traitement des déchets. On peut remarquer que si la ville de North Battleford aurait pu sauver beaucoup d’argent en installant des systèmes d’eau potable sûre. Pour plus d’informations au sujet des déclenchements de maladie présente dans l’eau potable (particulièrement ceux arriver à Walkerton en Ontario, North Battleford en Saskatchewan, la Nouvelle-Orléans, la Louisiane et Milwaukee au Wisconsin) consultez le document appelé Cas de contamination.
Quoique c’est déclenchements sont causés par différents polluants dans différents milieux du monde et dans des niveaux de sévérité différents ils ont quand même tous quelque chose de commun, les déclenchements de maladie sont évitables et c’est l’avantage des systèmes d’eau potable sûre malgré les coûts de construction elle assure un traitement d’eau efficace.
La Fondation de l’Eau Potable Sûre a des programmes éducatifs qui peuvent enrichir les informations trouvés dans cette fiche. Le programme Opération goutte d’eau étudie les polluants chimiques et est offert en cours de science. Le programme Opération d’écoulement d’eau étudie comment l’eau est utilisé, d’où elle vient et comment elle coûte est offert en cours de science social, math, biologie, chimie et science. Le programme Opération de l’esprit d’eau présente la situation des premières nations et de l’eau en plus de toutes les questions environnantes il est offert en classe d’étude amérindiennes et de sciences sociales. Le programme Opération de l’eau saine étudie toutes les questions entourant la santé par rapport à l’eau potable au Canada et dans le monde entier. Le programme se consacre entièrement à la santé et est offert en cours de science et science sociale qui collaborent ensemble pour le programme. Finalement, le programme Opération de la pollution de l’eau étudie comment l’eau devient polluer et comment on l’a dépollue et est conçu pour les cours de science et science social qui collaborent ensemble pour le programme. Pour avoir accès à plus d’information sur l’un ou l’autre de nos programmes éducatifs ou pour des fiches d’informations supplémentaires visitez le site web de la Fondation de l’Eau Potable Sûre au www.safewater.org.
Saviez-vous que notre programme d'Opération Eau Saine fournit aux enseignants l'information dont ils ont besoin pour enseigner à leurs élèves ce qu'est une eau potable saine, une eau potable malsaine et les problèmes de santé qui peuvent être causés par la consommation d'eau potable malsaine? S'il vous plaît, aidez-nous à garder notre programme d'Opération Eau Saine à jour! Faites un don de 5$ ou faites un don de 20$ ou plus et recevoir un reçu officiel de don aux fins de l'impôt sur le revenu SVP.
Ressources :
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https://environment.probeinternational.org/2001/11/27/lessons-learned-walkerton/
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Corso, Phaedra S., Kramer, Michael H., Blair, Kathleen A., Addiss, David G., Davis, Jeffrey P., & Haddix, Anne C. 2003. Cost of Illness in the 1993 Waterborne Cryptosporidium Outbreak, Milwaukee, Wisconsin. https://wwwnc.cdc.gov/eid/
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